En novembre dernier, une initiative citoyenne d’importance a été créée. Il s’agit de la Commission d’enquête nationale citoyenne. C’est une enquête publique indépendante (non-gouvernementale) qui a pour objectif de faire la lumière sur les nombreuses décisions très discutables prises dans les dernières années concernant la dite pandémie fameusement nommée Covid-19.
C’est un euphémisme de dire que avons de sérieuses questions à nous poser concernant ce qui s’est passé ici dans les trois dernières années ; ici, comme dans la majorité des pays occidentaux. Ce qui est intéressant, c’est que ça a mis en lumière pour beaucoup tout un système d’esclavage — celui qu’on pourrait peut-être se risquer à circonscrire sous le terme de technoimpérialisme. Ce système d’embrigadement n’est pas tout à fait nouveau, mais, avec les années il a prit de l’ampleur et on a pu voir récemment comment il pouvait fonctionner lorsqu’il passe en phase active de propagande et de coercition. Sa puissance prend appui actuellement sur des moyens informatiques et logistiques considérables à la disposition de l’empire de domination via la toile. Panoptique, chambre d’échos et média de masse tout à la fois, le citoyen se fait raconter les berceuses du moment par une intelligence qui se dit elle-même artificielle, et certes toujours plus froide au bout des doigts.
Avec algorithmes et secrets, on a assisté, il faut le dire, au déploiement massif de tout un appareillage de propagande tout à fait digne de l’URSS ou même des campagnes de peur historiques du Troisième Reich. Contester le discours du gouvernement, ses analyses (lorsqu’il y en avait !) ou ses prescriptions sont subrepticement devenus des crimes de la pensée sous le nouveau régime du WEF (World Economic Forum) et leur « Great Reset » imposé sournoisement par nos gouvernements et les divers exécutants non-déclarés des volontés de l’élite autoproclamée.
(Pour ceux qui ne savent pas à quoi je peux bien faire référence avec mon WEF, voir ces excellentes présentations faites par un camarade québécois : https://télé.fiatlux.tk/actuqc/merci-mais-non-merci-episode-1-le-f-e-m-au-canada/ ainsi que https://télé.fiatlux.tk/actuqc/merci-mais-non-merci-episode-2-surveillance-totale/ et cette troisième et dernière partie https://télé.fiatlux.tk/actuqc/merci-mais-non-merci-episode-3-lidentite-numerique/)
C’est évident que la majorité de la population n’est pas au courant réellement des courants de domination qui circulent et qui imposent leurs visions du monde criminelles. Elles sont criminelles ce sens qu’elles forcent massivement leurs discours basés sur des mensonges et des manipulations ou des visions complètement étriquées de la réalité, pour ne pas dire même pathologiques — avec des conséquences délétères sur les populations touchées. Dans le cas plus précis de la Covid : suspensions et pertes d’emploi, perte de sens et retards de développement chez les jeunes, calomnies et campagnes grossières de dénigrement face à toute critique ou interrogation, attaques féroces et vicieuses contre l’intégrité et l’autonomie des personnes, mesures d’exceptions injustifiées érodant le sol des protections du droit ; et, on va pas taire l’aspect peut-être le plus scandaleux : mauvais traitements médicaux semi-imposés et inusités, avec des conséquences graves pour la santé, dont la mort et des handicaps permanents et débilitants.
L’on pourrait me rétorquer que je me trompe, que nos gouvernements et nos institutions ont agi et agissent de bonne foi. Ce fut certainement le cas pour la plupart des acteurs de cette crise, du moins ici au Québec. Beaucoup y furent entraînés par la force des choses (peur de perdre son emploi, ignorance de la gravité de la situation, difficulté à comprendre les objectifs des acteurs volontaires de cette crise ou de sa propre position dans la chaîne de décision). Cependant, il faut que les voix discordantes dans ce concert presqu’unanime de la « bonté » et la nécessité des mesures soient réellement entendues. Ce ne fut pas du tout le cas. Cette situation est à la fois antidémocratique, anémique, dangereuse sociétalement ; et, je dirais, moralement inepte.
Ce que l’on nous a présenté à la télévision et dans les journaux fut plutôt une campagne de salissage en règle contre toutes les voix discordantes, et les arguments de ces voix discordantes n’y furent tout simplement pas entendus (voir à ce sujet le travail de Réinfo Covid Québec par exemple). Elles furent calomniées certes, mais pas entendues ou débattues sur la place publique. Comme l’on dit, c’est facile ensuite d’affirmer que « la science est unanime » lorsqu’on tait systématiquement toutes les voix discordantes. Cela est tellement vrai que les Facebook et les YouTube de ce monde (l’essentiel de la communication du monde post-citoyens) ont littéralement censuré les informations qui dérangeaient l’establishment technoimpérialiste (voir sur ce sujet, par exemple, les « Twitter files »).
Cette situation est inacceptable sous tous les points de vue. Elle nous met de plus tous en danger. C’est ce qu’on appelait anciennement le totalitarisme. On y est… Ou en tout cas, une partie de la classe dirigeante ne semble pas avoir beaucoup de cas de conscience morale à comme ça tous nous y mener : un monde de contrôle total de l’information, avec une surveillance constante, la possibilité permanente de suspendre nos libertés, d’imposer des traitements médicaux et même de corrompre la Nature et de forcer une seule métaphysique du monde comme étant la seule autorisée et ayant droit de citer.
Mais, les amis, c'est ça le totalitarisme ! C'est pas exactement une prescription pour la santé d'une démocratie !
Ce qui me fâche le plus dans cette situation n’est pas tant que des gens moralement ineptes ou sans conscience prennent des décisions basées sur leur seul intérêt : il y a toujours eu une frange de la population disposée à abuser, tuer et violer les autres, dans leurs corps ou dans leurs consciences. C’est triste mais c’est ainsi depuis probablement l’aube des temps. Ce qui me fâche plus particulièrement, c’est de voir les gens de bonne volonté — et ça, c’est l’immense majorité de la population — se faire emprisonner dans ce monde carcéral de contrôle omnipotent des « autorités » sur nos vies. Et d’ensuite voir ces personnes se transformer en gardiens d’un système corrompu et mortifère au nom d’un devoir citoyen ou d’un impératif moral supérieur qu’ils s’imaginent alors défendre.
Je comprends très bien cette réaction initiale. C’est qu’on a conditionné les populations à ne pas voir le mal, à ne pas même l’imaginer, sauf dans les prescriptions très spécifiques de ce mal — d’ailleurs exactement comme dans le roman 1984. L’exemple le plus frappant est sans doute justement ce qu’on a créé comme situation par la force de la propagande dans les médias concernant les personnes réfractaires à cette campagne de « vaccination » (suspecte sous tous les points de vue…)
Qu’est-ce que le mal, ici ? Mentir, censurer, calomnier… Le mal ne devrait pas d’être de se poser des questions ou encore d’affirmer notre droit à la souveraineté de notre corps et de nos pensées. C’est le monde à l’envers ici !
Sur Radio Masse Critique, vous trouverez moult illustrations de manipulations de la part des autorités et des médias. Parfois, il y a des hypothèses surprenantes qui restent encore plutôt des questionnements plutôt que des réponses définitives. L’on sent bien cependant, si l’on est le moindrement honnête, que ce genre de démarche citoyenne procède de questionnements sincères et légitimes qui, à mon avis, ne devraient pas juste être évacués par des quolibets, des moqueries, par ce trop commun mépris en revers de la main en se disant « c’est juste des théories du complot… ».
Non ! C’est pas juste des théories du complot. Ce sont des gens qui souffrent, une société que l’on brise en morceaux, ce sont des injustices renforcées par l’ignorance parfois trop confortable d’une caste de gens avec des bons salaires ou encore seulement dépassée par les événements (soyons généreux !) Voilà ce qui doit être discuté en toute liberté dans la société civile. C’est aussi, à quelque part, une interrogation sur le sens de nos vies et l’avenir du monde, la pratique parfois malhabile mais pourtant juste de la liberté : juste, car partant d’une bonne place dans le cœur, d’un endroit libre et dégagé des autodafés et des injonctions de la peur, de l’obéissance et du commandement. Et c’est là l’essentiel… Comme une sorte de point d’appui pour repenser le monde…
Il est temps d’entendre d’autres sons de cloche et de nouveaux rythmes. Il est temps (il sera toujours temps) de pratiquer la démocratie, ce qui nous reste de sens critique, de compassion et de liberté (Et non ! La liberté n’est pas un concept honni qui devrait être associé à l’extrême droite ! C’est quoi ce délire là ?) Que faire de cet empire de la dépossession ? Donnons-lui sa propre médecine : déconstruisons ses mythes et dénonçons ses mensonges. Mais pour cela, il faut prendre le chemin de l’action et de la pensée qui se met au service d’une œuvre supérieure. Ça demande temps, courage et humilité — comme toutes les œuvres d’amour au final…
Nous invitons les citoyens qui ont vu des choses inacceptables selon leur conscience à regagner cette liberté et leur souveraineté injustement dérobée en communiquant avec la Commission.
Vous trouverez ici (en cliquant sur le lien dans l’encadré plus bas) un formulaire pour témoigner ce que vous avez pu voir ou entendre. Le site est protégé et des mesures sont en place pour assurer la confidentialité de votre témoignage et de vos renseignements personnels. Je vous invite à explorer cette idée de participation à la construction démocratique de la communauté humaine. Le droit de parler et de dire les choses n’appartient pas qu’aux experts payés pour passer leurs messages à la télévision. À un moment donnée, il faut se sortir de sa passivité et prendre les choses par soi-même en main (et pas par le revers !)…
Pour la suite du monde, témoignez !
À bon entendeur…
Thomi-Alexandre Gagnon, pour le Mouvement pour une libération pacifique de l’humanité et Radio Masse Critique.